«Bien entendu, il y aura toujours ces régions du monde où des frustrations sexuelles, des représentations misogynes continueront à pousser le mâle à faire mal… Quand chez nous, des constructions sociales continueront à conforter le fils d’Adam qu’Ève n’est rien d’autre qu’une de ses côtes…»
«Géhenne» mise en scène après «Djihad», Ismaël Saidi monte sur les planches pour une suite, avec toujours dans l’âme la volonté de combattre l’extrémisme par la culture. «Douter, c’est vivre ; être bercé par la certitude, c’est mourir», selon Oscar Wilde. Le radicalisme religieux déconstruit par la meilleure des armes, l’art, nous confie le
Après l'annulation au Québec de la pièce «Djihad», d’Ismaël Saidi, ce dernier s'est fendu d'une lettre adressée au maire de Québec dans laquelle il dit ne ressentir «aucune colère ni rancœur». L’auteur dit aussi l'importance du brassage culturel et rappelle qu’à Paris, Bruxelles et Québec, l’air qu’on y respire est le même pour tous, en réponse à
Je pleure en regardant cette photo d’une femme, sur une plage, qu’on humilie parce qu’elle porte un voile...
La presse belge n’avait pas autant parlé d’Ismaël Saïdi qu’elle ne l’a fait ces derniers jours. Alors que le réalisateur et scénariste belgo-marocain est la cible d’insultes et menaces depuis quelques temps en raison de son engagement dans la lutte antiterroriste, son retrait d’un projet de déradicalisation soutenu par les autorités n’a pas estompé les attaques. Hier, mardi, la RTBF a été
Après l’islam de France, l’islam de Belgique ? C‘est en tout cas ce que préconise le scénariste et réalisateur Ismaël Saïdi. Interrogé sur une émission radio a propos des récents évènements survenus en France et la situation suscité en Belgique, l’artiste belgo-marocain a estimé que la Belgique a besoin d’un islam européen. Il a également appelé la