Les actes de violence dans les universités marocaines montent d’un cran. L’agression de Chaimaâ n’est malheureusement pas un acte isolé. Cette après-midi, à la Chambre des représentants, les politiques se sont emparés de l’affaire. Explications.
Elle s’appelle Chaimaâ. Elle est mineure et travaille dans une cafeteria de l’université de Meknès. Agressée physiquement par des étudiants marxistes, le PJD en a fait son nouveau cheval de bataille contre l’extrême gauche. En revanche les autres partis se murent dans le silence. Chaimaâ n'a pas eu la chance des deux filles d'Inzegan ou les deux homosexuels de Béni Mellal.