Comme à ses habitudes, un journaliste espagnol vient de faire une sortie médiatique remarquée. Au cours d'une interview, il a accusé les services secrets marocains d'avoir fomenter les attentats de Madrid en raison d'une vengeance présumée des autorités marocaines concernant l'épisode de "l'îlot Leïla ou Perejil" dont le Maroc et l'Espagne se disputent la souveraineté. En Espagne où la déclaration a eu son
Ahmed Boulane, le réalisateur marocain du film «La Isla», qui sortira prochainement au cinéma, est revenu sur le caractère de son long métrage qui retrace le conflit hispano-marocain à propos de l'ilôt Leila survenu en 2002. Contrairement à ce qui avait été annoncé, le réalisateur affirme que toutes les scènes filmées apparaitront dans le film. Entretien.
Le conflit de l’îlot Leïla (Perejil ou Persil) s’invite au cinéma. Le réalisateur marocain Ahmed Boulane retrace de manière fictive le conflit ayant opposé, en 2002, le Maroc à l’Espagne après l’arrivée sur l’îlot de soldats marocains. Le long métrage est en post production et devrait bientôt sortir sur les écrans.
L’entrée des militaires marocains dans l’ilot Leila (Persil) continue de susciter des réactions. Après les ONG, c’est autour d’un collège d’avocats espagnols de dénoncer le laisser-faire du gouvernement de Mariano Rajoy qui a accepté le rapatriement des migrants dont des Centrafricains alors que leur pays est en situation de guerre.
Des ONG espagnoles montent au créneau pour dénoncer l’entrée des forces marocaines sur l’îlot Leila ou Persil suite à l’arrivée, ce matin, de 13 immigrants d’Afrique subsaharienne. Elles pointent du doigt la violation de la souveraineté espagnole et de la loi sur les étrangers par les gendarmes marocains.
En bon élève de Manuel Fraga, un ancien ministre de la Communication du dictateur Franco, et de l’église espagnole, José Maria Aznar a, durant huit ans, adopté des positions contraires aux intérêts du Maroc. Ses nouvelles mémoires en sont la preuve.
Militant infatigable de la marocanité des enclaves espagnoles de Sebta et Melilla, Yahya Yahya, maire de Bni Nsar (12 km au nord de Nador), a conduit ce mardi une nouvelle manifestation de revendication. Un drapeau marocain a ainsi été installé près des sources de Yasinen, qui fournissent en eau la ville de Melilla.
Le géant américain de l’internet, Google, a reconnu jeudi s’être trompé en attribuant l’ilot controversé Leïla (Perejil en espagnol) au Maroc et à l’Espagne. Google qui se dit neutre est décidé à corriger son erreur et à ne plus attribuer le rocher à aucun des deux pays.
Google subit la pression du gouvernement espagnol afin de corriger l'erreur attribuant l'îlot Leïla (islote de Perejil en espagnol) et d’autres territoires sous souveraineté espagnole au Maroc. Le ministère espagnol des Affaires étrangères a demandé à l’entreprise américaine Google de modifier les informations et de «restituer» à l’Espagne tous ses territoires.