La fête de trône de cette année a connu une réconciliation du pouvoir avec une aile de l’Armée de libération nationale. Celle qui refusait de déposer les armes même après l’indépendance du Maroc et de «se ranger» dans les Forces armées royales dirigées par Hassan II, alors prince héritier. Mohamed Ait Idder représente cette partie de l’ALN. Hier, il a