Les appels à la moralisation de la scène politique sont presque une constante dans les discours du roi Mohammed VI, et ce depuis son accession au trône. Face à la succession de procès de parlementaires, le souverain a décidé de passer à la vitesse supérieure.
Au Maroc, certains parlementaires sont soit derrière les barreaux, soit visés par des poursuites judiciaires, depuis les dernières élections législatives du 8 septembre 2021. Les élus du RNI sont en tête, suivis de ceux de l’UC, puis du PAM, de l’USFP et du MP.