Une autre forme de racisme voit le jour sur les réseaux sociaux au Maroc. Dans un groupe Facebook dédié aux «employés de maison», certaines Marocaines se demandent par exemple comment en finir avec «l’odeur insupportable des Sénégalaises». Du racisme décomplexé qui n’a pas manqué de susciter l’indignation des internautes.
Déjà prise pour cible en févier dernier, la mosquée «Sunna» de Besançon a été à nouveau victime d’actes islamophobes. Un sigle SS, un tag «Vive la France», une croix celtique et une rune d’Odal, ont été peints sur le mur de l’édifice religieux. Les réactions chez les musulmans fusent.
En 2011, trois ouvriers maghrébins en situation irrégulière, se font agresser chez eux, par une bande de 7 jeunes. Ces derniers se vengent sur eux, pour leur faire payer l'insécurité qui règne dans leur village situé dans la région d'Aix-en-Provence. Malgré la violence subie par les ouvriers, la justice française ne considère pas cette agression comme raciste.
L’association des marocains dans les pays germanophones, dont le siège est dans la ville de Feldkirch/Vorarlberg, est scandalisée par l’affiche du parti autrichien de la liberté (FPÖ) de la ville d’Innsbruck, portant le slogan: «Heimatliebe statt Marokkaner-Diebe = L’amour de la patrie au lieu des voleurs marocains».
7 mai 2002, une date qui restera à jamais gravée dans ma mémoire. Un homme est entré dans notre appartement. Il a abattu mes parents, a grièvement blessé mes deux petits frères et s’est ensuite donné la mort. Des funérailles officielles ont été organisées en présence de milliers de personnes et de nos élus politiques. Nous nous étions tous dit «plus jamais ça». Mes