Les nouveaux maitres à l’Istiqlal ont réussi à mettre leurs proches en bonne position sur la liste nationale des jeunes. C’est le cas du fils de Hamid Chabat et du gendre de Hamdi Ould Errechid. Le clan des Al Fassi a pu placer quant à lui le fils de l’ancien secrétaire général du parti au 4e rang.
La scène politique marocaine est en pleine reconfiguration à l’approche des législatives anticipées du 25 novembre. Le Parti de l’Istiqlal, l’USFP et le PPS ont ressuscité la «Koutla» alors que les partis dits de «l’administration» ont réussi à faire naitre un «G8» en s’alliant à des formations plus ou moins représentatives. Seul le PJD fait cavalier seul. Mais ces
Abbas El Fassi serait-il en train de vivre ses dernières heures en tant que chef du gouvernement marocain ? En tout cas, la rumeur sur l’imminence de son éviction de la Primature ne cesse d’enfler. Des sources ministérielles nous confirment que même l'administration est dans l'expectative. Plusieurs noms de possibles successeurs circulent, et parmi eux, Mostafa Terrab, PDG de l'OCP.
«Le gouvernement marocain a décidé d’injecter 15,4 milliards de DH (1,4 milliard d’euros) sur le marché national», a affirmé, mardi, le chef du gouvernement, Abbas El Fassi. Objectif : compenser la hausse des prix des produits de première nécessité sur le marché international... et aténuer les tensions sociales qui secouent tous les pays de la région.
Les évènements en Tunisie, auraient-elles chamboulé les projets sociaux de certains dirigeants du Maghreb ? En tout cas, l'annonce du Premier ministre Abbas El Fassi d’intégrer dans l’administration marocaine 1880 diplômés-chômeurs sans passer par un concours n'a rien d'anodin. Encore moins le moment auquel il l'a faite.