Oussama Housne et Wafaâ Charaf sont toujours derrière les barreaux et Amnesty International réitère sa demande de libération. L’ONG estime que l’attitude du Maroc à l’endroit de ces deux citoyens «remet en cause la réalité de la détermination» des autorités chérifiennes à mettre un terme à la torture.
Le procès en appel de Wafaâ Charaf a été ajourné au 29 septembre. La mobilisation de ses partisans réclamant sa libération ne faiblit pas. Il y a cinq jours, ils ont organisé un sit-in devant l’ambassade du Maroc à Paris. De son côté le parti de la Voie démocratique continue de rejeter l’accusation officielle d’«allégations mensongères de torture» à
Il faut nous indigner de toutes nos forces : Wafaa Charaf est en prison pour avoir dénoncé la brutalité de la police marocaine. Je sais que c'est un euphémisme d'ajouter les mots "brutal" ou "violent" à "police marocaine", et je sais qu'on en rirait dans des circonstances normales. Mais là, la jeune Wafaa en est condamnée à UN AN DE PRISON FERME. C'est donc plutôt tragique. D'où cet appel qui fait
Après l'appel lancé aux autorités marocaines par Amnesty International pour la libération des militants condamnés pour fausses allégations de torture, l'une des concernés, Wafaâ Charaf s'est exprimée du fond de sa cellule dans une lettre adressée à ses camarades militants. Elle n'a pas l'intention d'abandonner son combat. Détails.
Pour Amnesty International, il n'existe aucune autre issue. Les militants condamnés pour fausses allégations de torture au Maroc doivent être "immédiatement" libérés. C'est l'appel lancé hier par l'ONG aux autorités chérifiennes, estimant que leur attitude envers les citoyens "renforce la culture de l'impunité". Les cas de Wafaâ Charaf et Oussama Hassni, particulièrement évoqués. Détails.