On ne présente plus Fatima Anechad. Les médias français l’ont même surnommée la «Veuve noire». Elle est soupçonnée d’avoir tué son compagnon en 2002 lors d’un voyage du couple au Maroc. Le corps n’a jamais été retrouvé et la mystérieuse disparition de son précédant mari a davantage fait peser les soupçons sur elle. En fuite au Maroc, son procès a
Fatiha Mejjati, une jihadiste marocaine considérée comme l’une des principales figures de la mouvance radicale marocaine, avait disparu des réseaux sociaux, depuis une semaine. Hier, elle a tweeté une photo d’elle devant le tribunal islamique de Jarabulus, un village syrien contrôlé par les hommes d’Al Baghdadi, qui s’est récemment autoproclamé «Calife des musulmans».