Le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) au Maroc organise, sur deux jours, un atelier d’échange avec les médias arabophones et francophones, afin de discuter des terminologies employées dans le traitement journalistique des questions migratoires, ainsi que sa corrélation avec le droit international.
L’Agence des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a publié jeudi dernier un témoignage d’une grand-mère sahraouie, vivant dans les camps de Tindouf. L’occasion de revenir sur le calvaire des réfugiés sahraouis, leurs défis quotidiens et leurs aspirations.
Depuis 2013 et grâce à la nouvelle politique migratoire du Maroc, la création de coopératives s’inscrit dans une dynamique d’insertion des migrants. La première initiative du genre a été mise sur pied à Kénitra.
«Le climat international et le glissement sémantique d’islamisme vers terrorisme, puis vers Islam et pour finir vers musulmans a fait que cette population qui embrasse une religion décrite comme néfaste et dangereuse est devenue de fait indésirable. L’histoire a toujours tendance à bégayer !»
Deux parcours de vie, mais un seul statut : celui de réfugié. Maryam*, réfugiée irakienne résidente au Maroc a ouvert les portes de son foyer à Yabiladi, accompagnée de son mari et ses filles elle se confie sur sa vie au Maroc. Jamal*, quant à lui était journaliste sous le régime de Saddam Hussein, poète à ces heures perdues, raconte avec poésie son quotidien au Maroc. Détails.
Depuis l’annonce de la libération de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud par le Polisario le 6 octobre dernier, rien n'a été fait. Personne n'a pu le voir, et il est toujours emprisonné. Lundi 18 octobre à Alger, Mohamed Salem Ould Salek, «ministre des Affaires étrangères» du Polisario a reconnu que le mouvement indépendantiste détient toujours le policier dissident. Les déclarations de ce responsable ont