Trois ans après sa nomination au gouvernement Benkirane II, Rachid Belmokhtar a présenté son plan de sauvetage de l’enseignement public. Sa stratégie étalée sur quinze ans sonne le glas de la politique d’arabisation lancée il y a trois décennies.
Le 10 octobre, le ministre de l’Education nationale annonçait le retour du français dans l’enseignement de quelques matières scientifiques. Cela avait provoqué l’ire des islamistes et des défenseurs de l’arabe. Le chef du gouvernement semble s’être rangé du coté de ces derniers en suspendant brutalement la décision de Belmokhtar et en le critiquant ouvertement sans ambages.
Face à la montée de la spoliation immobilière et «l’impunité» régnante dans le milieu de la justice, les victimes françaises et MRE ne savent plus quoi faire. En ce mois de purification des péchés qu’est le mois de ramadan, l’Association pour le Droit et la Justice au Maroc (ADJM) qui accompagne lesdites victimes depuis plus de six ans sollicite l’intervention du roi Mohammed VI pour le respect des
Dans leur combat contre des milieux francophones, les partisans de l'arabe demandent une intervention du roi Mohamed VI en vue de mettre un terme «aux putschs qui menacent l’identité des Marocains» et la « stabilité de l'Etat».