Comme du temps de Hassan II, la Tunisie continue d’être un terrain où le Maroc et l'Algérie se livrent concurrence. Pour fléchir la balance en sa faveur, le voisin algérien, par la voix de son premier ministre, n’hésite pas à accuser la drogue en provenance du royaume de financer les groupes terroristes au pays de la révolution du jasmin.