La Zone de libre-échange continentale suppose la mise en place de dispositifs et de politiques complémentaires pour renforcer le lien entre commerce et industrialisation en Afrique.
Le royaume se classe à la 90e place du rapport de l’Institut pour l’économie et la paix, alors qu’il était classé 71e dans l’édition précédente. La région MENA est également décrite comme la moins pacifique au monde.
Entre 2000 et 2019, le Maroc enregistre une progression de 90 points en matière de protection de l’enfance. Globalement, la situation de l’enfance dans le monde s’est beaucoup améliorée, même si le nombre d’enfants vivant dans des zones conflictuelles a fortement augmenté depuis l’an 2000.
Une étude passant 60 pays à la loupe classe le Maroc 34e en matière de mécanismes de protection et de prévention de l’enfance contre les abus sexuels. En effet, les efforts fournis par le royaume dans ce sens restent en deçà des exigences internationales et des mesures concrètement efficaces.
Publié il y a deux jours, un rapport de la Cour des comptes (CC) épingle le Maroc sur le retard accumulé dans la mise à niveau du contenu du portail des données ouvertes (open data), pointant du doigt «le faible avancement des projets e-gov et la non réalisation de certains projets structurants».
Au Proche-Orient et en Afrique du Nord (NENA), la faim ne cesse d’augmenter pour plusieurs raisons. C’est le constat alarmant de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), selon laquelle 52 millions de personnes dans la région souffrent de sous-alimentation.
A quatre jours de l’ouverture des Assises de la fiscalité, l’ONG Oxfam dresse le bilan des inégalités au Maroc, alimentées de plein fouet par des privatisations à outrance, en l’occurrence dans les secteurs de l’éducation et de la santé.