En août 2014, Abdelaziz Belkhadem était traité de «brebis galeuse du FLN» et de «traitre» sous prétexte d’avoir rencontré des proches du roi Mohammed VI. Deux ans plus tard, le voilà de nouveau "autorisé" à donner son opinion sur la politique interne de son pays et sur le Maroc.
Il y a quelques jours des médias algériens accusaient, en chœur, le Maroc d’être l’instigateur des affrontements à Ghardaïa. Une fixation sur le royaume chérifien qui se poursuit avec l’éviction de Abdelaziz Belkhadem du palais d’Al Mouradia. Il lui est reproché d'avoir effectué deux visites secrètes au Maroc cet été. Détails.
Les récentes déclarations de Salaheddine Mezouar sur le rôle de l’Algérie dans le conflit du Sahara occidental continue de susciter des réactions de la part des hommes proches de Bouteflika. Après la riposte, la semaine dernière, du porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères, c’est à Abdelaziz Belkhadem, l’un des plus anciens politique en exercice dans ce pays, de prendre le