Ce mardi 22 octobre est une journée décisive pour Ali Anouzla. Vers 10 heures du matin, il aura rendez-vous avec un juge d’instruction. Sa mise en liberté provisoire est une option à ne pas écarter, sachant que le journaliste a présenté des gages de sa bonne foi. Il a, en effet, pris ses distances avec la nouvelle direction de Lakome et avec les avocats qui assuraient, jusque là, sa défense.