Afin d’éviter que le peuple et les médias locaux s’inquiètent de la baisse des recettes pétrolières et du stock en devises, l’Etat algérien a inventé un nouvel ennemi : le trafic des carburants subventionnés, accentuant sa traque. Une campagne qui mobilise, police douane, armée, presse. Même les pauvres imams des mosquées ont prêté main forte menaçant les contrebandiers