Philippe Servaty, connu sous le surnom de «pornographe d’Agadir», a comparu devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, ce matin, huit ans après les faits. La partie civile espère encore que justice soit faite. Au Maroc, certaines victimes majeures de Servaty ont été condamnées à un an de prison pour débauche.
Après l’interdiction d’une projection du documentaire les Juifs de Tinghir de Kamal Hachkar dans la ville d’Agadir, un autre film crée la polémique actuellement au Maroc. Il s’agit de «Femme écrite» réalisé par Lahcen Zinoun, film qui est projeté actuellement dans les salles de cinéma marocaines depuis le 21 novembre dernier.
On n’avait plus entendu parler de cette affaire scandaleuse (cf article) depuis plusieurs années et voilà qu’elle refait surface. En effet, l’ancien journaliste belge du «Soir» Philippe Servaty, surnommé par les médias «le Pornographe d’Agadir» repasse devant la justice début février 2012 en Belgique. Le début d’une nouvelle et longue procédure judiciaire qui mettra, peut-être,