Le correspondant de l'AFP au Maroc n'a pas été le seul à avoir été tabassé par les forces de l’ordre lors de la dispersion, mercredi, d’une manifestation des opposants à la cérémonie d’allégeance au roi. Des photographes et des journalistes travaillant pour des journaux marocains ont subi le même sort mais eux n’ont eu droit aux excuses du ministre de la Communication.