C’est un film qui n’est pas récent. Pourtant cinq ans après sa sortie dans les salles de cinéma du monde, Persepolis continue de faire couler de l’encre dans les pays arabes. Après la Tunisie en octobre dernier, cette polémique atteint le Maroc. Sans donner aucune raison, la Cinémathèque de Tanger vient de déprogrammer trois projections prévues en ce mois de juillet, créant ainsi l’indignation chez