Selon une étude de la Banque Mondiale, les transferts de devises des migrants dans le monde n’ont cessé d’augmenter durant la crise financière internationale. Savoureux paradoxe ! Et pourtant, il n’est pas le seul puisque l’enquête de la BM révèle par ailleurs que cette hausse des transferts n’a pas, dans la plupart des cas, eût d’impacts positifs sur le développement socio-économique des pays
Les transferts d’argent opérés par les Marocains résidant à l’étranger ont progressé de 7,6% en 2011 par rapport à l’année précédente, pour se fixer à 58,5 milliards de DH. Ces mouvements de capitaux sont très importants dans la comptabilité nationale et leur augmentation n’est que salutaire pour les finances du pays.
Le ministre des Finances marocain a dû suivre avec anxiété l'annonce de la perte du triple A de notre principal partenaire économique, la France. Si une détérioration de la situation financière de l'hexagone pourrait impacter négativement l'investissement au royaume, des menaces pèsent également sur notre notation BBB-.
Le Maroc importe chaque mois de plus en plus de produits de l’étranger. Pétrole, céréales, sucre, la liste des produits importés est longue. De l’autre côté, les exportations augmentent mais pas assez pour combler le déficit de la balance commerciale. Conséquence : le Maroc dépense plus de dollars et d’euros qu’il n’en encaisse.
Forbes, le célèbre magazine américain a publié la semaine dernière le classement des hommes les plus riches d’Afrique. Sur les 40 milliardaires recensés, il y a 5 Marocains. Leur fortune additionnée atteint presque les 8 milliards de dollars.
Maroc Telecom a publié hier les chiffres de ses activités pour les neufs premiers mois de l’année, des chiffres décevants puisque l’opérateur historique a vu son chiffre d’affaire baissé de 4.3%. Même si 80% du chiffre d’affaire de l’opérateur est effectué au Maroc, le groupe peut dire merci à ses filiales africaines, qui sauvent les meubles, une fois encore.
La France compte 6,7 millions d’immigrés soit 11% de sa population selon l'Institut national français des études démographiques (INED). Ces immigrés constituent une charge pour l’Etat français, mais et surtout, une source de revenu. En effet, d’après une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Lille pour le compte du ministère des Affaires sociales sur les coûts de
L’impact de la crise économique mondiale commence à se faire sentir au Maroc alors que des acteurs institutionnels, le personnel politique ou encore certains «faiseurs d’opinions» ont déclaré, à maintes reprises, que «la crise n’a pas touché le Maroc car notre système financier n’est pas suffisamment arrimé à celui des grandes places financières et que notre croissance est