Pour assister aux matchs du Maroc en Coupe d’Afrique des nations (CAN 2023), Sadik Abdellah a entrepris un voyage par voie terrestre jusqu’en Côte d’Ivoire. Sur sa route, à bord de son van, il en profite pour sensibiliser à l’éducation et faire connaître la culture marocaine.
Depuis le début du XXe siècle sous la période coloniale, les femmes au Maroc ont pu s’émanciper essentiellement grâce au savoir. Leur éducation a été la pierre angulaire des projets nationalistes qui ont insisté sur l’instruction pour tous.
Passionnée par les langues depuis son village natal au sud du Maroc, Noura El Merras réalise de petites vidéos qu’elle met en ligne sur ses réseaux sociaux, pour partager des notions linguistiques avec ses abonnés. Elle promeut ainsi l’apprentissage de l’anglais, du français, de l’espagnol, du turc ou encore du russe.
«Exercise with Hasnae» est un compte Instagram proposant des vidéos pédagogiques courtes, sur un ton ludique et utilisant le langage des jeunes élèves marocains auxquelles elles s’adressent. Dans un nouveau programme éducatif, la startup utilisera une approche de gamification.
Les élèves marocains des écoles publiques et privées ont obtenu des résultats inférieurs à la moyenne, avec une baisse par rapport à l’évaluation précédente, dans le cadre de l’enquête du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA 2022), supervisée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Dans
La crise actuelle du secteur de l’éducation a montré un déclin du rôle des syndicats en faveur des actions sous la bannière de la coordination. Commentant la situation, le politologue Rachid Lazraq estime que l’action syndicale est devenue monopolisée par la syndicalisation professionnelle. Pour sa part, Amrani Boukhobza a averti que l’histoire se répète avec les syndicats, comme ce qui s’est passé avec les