C’est une question qu’on s’est toutes posée au moins une fois. Si le mois de ramadan est un mois de prières et de recueillement, faut-il pour autant oublier l’amour et la tendresse ? Ne plus se toucher, ni s’embrasser ? Et après le ftour, peut-on se permettre un petit moment complice ?
Retour sur la polémique ayant agité la sphère médiatique française, après la parution de l’ouvrage «Sexe, Race et Colonie : La domination des corps du XVe siècle à nos jours», dirigé par Pascal Blanchard, Nicolas Bancel, Gilles Boëtsch, Christelle Taraud et Dominic Thomas.
Deux Marocaines ont été condamnées pour une partie fine alcoolisée sur un yacht à Dubaï. Les faits remontent au 10 octobre dernier. Au total, 28 personnes ont été jugées dans cette affaire.
Malika Mezzane, la poétesse au sens de la dérision et de la provocation revient à la charge. Cette fois-ci elle se moque ouvertement du djihad du sexe sur sa page Facebook, qui compte plus de 12 600 fans.
Le sujet est délicat mes chères ladies et même tabou. Et pour cause, de nombreux maghrébins qu’ils soient hommes comme femmes n'osent pas avouer qu’ils usent de cette pratique pour satisfaire leurs désirs et pulsions sexuels. Les silences sont gênés et les sourires crispés à l’évocation de ce mot : masturbation.
Le parlement Egyptien examine actuellement une nouvelle loi controversée inspirée d’une fatwa du cheikh marocain Abdulbari Zemzmi que ce dernier avait émise en mai 2011. Ladite loi serait en passe d’être entérinée en Egypte et permettrait aux hommes d’entretenir des rapports sexuels avec les cadavres de leurs épouses.
Ce geste chirurgical permettant de retrouver une virginité perdue est de plus en plus pratiquée au Maroc et chez les voisins maghrébins. Véritable secret de polichinelle, l’hyménoplastie suscite les passions, en atteste les témoignages recueillis à ce propos ainsi que les silences gênés et les tons secs des praticiens que nous avons joints. Néanmoins, deux gynécologues marocains ont accepté de nous parler