Entre crimes contre l’humanité commis par le régime baathiste en Syrie et assassinat d’écoliers juifs en France, l’actualité au Maroc peut sembler anodine vu de l’extérieur. Les Marocains savent, eux, qu’il n’en est rien. Une économie menacée par la sécheresse – au pays de «gouverner, c’est pleuvoir» (formule du Maréchal Lyautey), chacun sait ce que cela signifie – et
Le décès du jeune Nabil Zouhri samedi 17 mars à Taza, a donné lieu à deux versions différentes. Celle de la famlle qui met en cause les forces de l'ordre, et celle des autorités, qui justifient l'action de la police.