Le procès tant attendu des trois Argentins accusés d’avoir violé, séquestré puis tué une jeune étudiante française d'origine marocaine, Houria Moumni, et son amie Cassandre Bouvier a été ouvert ce mardi 25 mars.
Une employée de maison a été victime d’un viol, à Azilal, au centre du Maroc. Avant de décéder sur son lit d’hôpital, la jeune femme est revenue sur les circonstances, très étranges de son viol. Détails.
Lors d’une table ronde organisée par le quotidien arabophone marocain Al Massae, l’affaire d’Amina Filali a suscité un débat qui s'annonçait houleux. La salle était archicomble. Des féministes, juristes, journalistes, sociologues, psychologues et professeurs universitaires se sont déplacés pour assister à cette rencontre tant attendue.
Le viol d’Amina Filali n’aurait pas uniquement réveillé les consciences, mais encore a-t-il braqué les lumières sur la réalité des filles violées au Maroc. Preuve en est, cette jeune marocaine qui a eu le courage de parler de son viol sur un blog-témoignage. Un mauvais souvenir qu’elle tient à partager avec les internautes, histoire de rappeler que le viol n’arrive pas qu’aux autres.
Hier, environ 200 personnes se sont réunies devant le parlement marocain. En ligne de mire, l’abrogation de l’article 475 du code pénal marocain, qui a poussé Amina Filali au suicide le 10 mars dernier, déclenchant une vague d'émotions et d'indignation à travers tout le Maroc. «Sadique», «moyenâgeux» ou «aberrant», les manifestants n’ont pas lésiné sur les qualificatifs pour
Hier, Yabiladi avait parlé de l’affaire d’une jeune marocaine accusée de proxénétisme à Dubaï. Celle-ci avait fait venir une compatriote du royaume en lui promettant un emploi pour, au final, l'obliger à travailler comme prostituée. Aujourd’hui, l’un des quatre quotidiens qui avait relaté cette affaire, The National rapporte une autre malheureuse histoire. Celle d’une Marocaine qui a été