Il n’y a pas que le sport dans la vie des étudiants marocains. Il y aussi les activités intellectuelles. Ces dernières années, une nouvelle compétition, connait de plus en plus de succès dans les écoles d’enseignement supérieures marocaines. Il s’agit des «The Great Debaters». Une compétition de débats née aux Etats-Unis dans les années 20-30, durant laquelle des écoles
Plus qu’une question d’heures et les étudiants étrangers en France pourront paisiblement envisager leur après-cursus universitaire sur les terres de l’Hexagone. La très controversée circulaire Guéant qui leur empêchait de poursuivre leurs études en France va être annulée ce jeudi et remplacée par un autre texte. Mais la satisfaction n’est cependant pas à son comble.
François Hollande l’avait à maintes reprises promis lors de sa campagne électorale : la circulaire Guéant sera bien annulée. D’ailleurs, la nouvelle ministre de l’Enseignement est en train de s’atteler à la tâche. Un véritable soulagement pour les étudiants étrangers diplômés en France qui devraient ne plus rencontrer d’obstacles pour trouver du travail dans l'hexagone. Et s'il y
Nabil Sebti est le jeune Marocain de 25 ans engagé comme porte parole du Collectif du 31 mai en opposition à la circulaire Guéant. Par orgueil, parce qu’il a refusé de se laisser régulariser comme on se fait acheter, il est retourné dans sa famille, à Casablanca. Retour sur une aventure hors du commun.
L’année 2011 aurait pu se terminer tranquillement pour Claude Guéant, le ministre de l’intérieur français, si seulement le journal Libération n’avait pas décidé de publier aujourd’hui son traditionnel classement sur les plus gros bobards de l’année. Claude Guéant y tient une place de choix. En plus d’être «le petit chouchou» de ce classement, il reçoit la «palme
Dur dur aujourd’hui d’être étudiant étranger en France. Alors qu’il est désormais impossible pour un jeune diplômé non-français de décrocher un premier travail en France, les bacheliers étrangers ayant envie de faire leurs études dans l’hexagone, devront avoir les moyens. Un nouveau décret signé Guéant exige de ces étudiants d’avoir plus de 620 euros dans leur compte,