Une fois de plus, le Parlement annonce la création d’un instrument juste en réaction à une percée réalisée par le Polisario ou l’Algérie en Afrique ou ailleurs. En témoigne la communication faite, hier, par la Chambre des représentants autour d’une «note-cadre» portant sur «l’organisation des groupes d’amitié et de fraternité».
En principe, l’article 70 de la Constitution attribue au Parlement le pouvoir de contrôler l’action du gouvernement. Mais dans la pratique, l’exécutif parvient à se débarrasser de cette «tutelle» et choisir les questions orales et écrites auxquelles il souhaite répondre.