Cinq mois après l’attentat terroriste d’Argana, les prévenus nient tous leur implication dans l’explosion qui a fait dix-sept morts le 28 avril dernier, dont huit Français et trois Marocains. Un des prévenus interrogés hier à la cour d’appel de Salé affirmait qu’Adil Al-Atmani, principal accusé, s’était rendu en Tchétchénie pour des raisons jihadistes et qu'il lui avait remis un