La décision du roi Mohammed VI d’ouvrir le métier d’adoul aux femmes suscite des remous dans les cercles salafistes.
Le ministère de l’Intérieur accuse un opposant politique qui vit en Espagne d’être l’auteur de la publication sur Twitter d’un document avançant une collaboration entre la DST et Mohamed El Fizazi lors de son incarcération.
Si son projet de créer un parti salafiste a pris l’eau, Mohamed Fizazi rêve toujours d’une carrière politique... au parlement. Contrairement au très controversé Abdelbari Zemzmi qui s’est présenté aux législatives de 2007 en tant que tête de liste d’un parti islamiste à Casablanca, le salafiste souhaite entrer à la Chambre des représentants grâce à un quota
Les salafistes s’attendent à un geste de la part de Mohammed VI pour que leurs «frères» détenus recouvrent leur lierté. Ils ont récemment multiplié les actes d’allégeance au souverain pour sa clémence. Mohamed Fizazi espère une grâce royale à l'approche de la commémoration des attentats du 16 mai 2003 à Casablanca.
En mai dernier, le cheikh Mohamed Fizazi écrivait une lettre à Abdelaziz Bouteflika. Le président algérien était, à l’époque, admis dans un hôpital parisien pour «un mini accident ischémique cérébral», selon la version officielle. De retour au palais Al Mouradia, le salafiste revient sur le sujet mais cette fois sur un ton différent. La riposte de la presse algérienne à sa
Loin de ce qui s’est passé à Benghazi en Libye, la mosaïque des mouvements islamistes au Maroc tente de prendre une position hostile au film américain «Innocence of Muslim» et en même tremps à appeler ses partisans à la retenue. Seuls le PJD et sa matrice, le MUR, ont officiellement opté, jusqu'à présent, pour le silence.