Loin des médias, le clan Abdelmoula cherche encore des solutions pour sauver la compagnie maritime marocaine, Comarit, grâce au second mandat de redressement judiciaire dont il bénéficie depuis juin dernier. Dans moins de deux mois, le sort définitif de l’armateur sera scellé. Mais dans le milieu judicaire, il semble connu d’office. Détails.
La vente aux enchères du Biladi de la Comarit, annoncé pour cette semaine, a bel et bien eu lieu hier lundi à Montpellier. Le ferry marocain a finalement été récupéré par un armateur grec. Au port de Sète, l’équipage resté à bord des navires angoisse et souhaite un redémarrage ou la liquidation des autres bateaux. Ils ont déjà saisi la justice.
Du nouveau dans l'affaire Comarit. Le Biladi, l'un des bateaux à quai au port de Sète depuis plus d'un an sera mis aux enchères la semaine prochaine. Le clan Abdelmoula tente de faire annuler cette opération, mais y arrivera-t-il?
Biladi, l’une des toutes premières émissions télévisées marocaines qui s’est intéressée de près à la diaspora marocaine dans le monde, et ce durant 15 ans non-stop, pourrait être supprimée fin décembre prochain pour des raisons financières. Son présentateur Moustapha El Bied se bat aujourd’hui pour que la SNRT la maintienne dans sa programmation.
Les Marins de la Comarit montent au créneau. Malgré le compromis proposé par les autorités portuaires de Sète, les matelots marocains demandent une garantie de l’Etat pour leurs arriérés de salaires, condition sine qua non au déplacement de leurs navires pour faire place à ceux de l’armateur italien Grandi Navi Veloci (GNV). Parrallèlement, de nombreux soucis demeurent et pour le syndicat ITF, «le
La situation de crise au sein de la société maritime Comanav-Comarit continue de faire des victimes. Aux côtés des passagers aux droits bafoués et oubliés, il y a aussi ces hommes qui assurent la sécurité et le bon déroulement des voyages en mer : les marins marocains. Abandonnés dans le port de Sète depuis le blocage des ferries dans des conditions difficiles, ils sont soutenus par les syndicats qui appellent les