Après sa nomination au poste de chef du gouvernement par le chef de l’Etat, Abdelilah Benkirane entame les tractations ce mercredi. L’Istiqlal est naturellement le premier parti à être approché par le leader du PJD. La prochaine équipe gouvernementale, avance-t-on au sein de l’Etat major du PJD, ne comptera aucun ministère de souveraineté désigné par le Palais. Le futur locataire de la Primature sera le chef de tous
Les résultats définitifs des élections législatives anticipées du 25 novembre viennent de tomber. Ils confirment la très large victoire du PJD devant les autres fomations qui étaient en lice dans ce scrutin. Le parti de Benkirane remporte 26% des sièges au parlement, loin devant l'Istiqlal, 15%. Le RNI se place troisème avec 13% des sièges.
Après sa victoire, le parti de Benkirane se prépare à l’exercice du pouvoir. Mais, quelles alliances compte-t-il nouer pour réunir une majorité gouvernementale ? Quelles seront les relations avec le Palais ? Et la gestion de la contestation populaire incarnée par le Mouvement du 20 février et Al Adl Wal Ihsane ? Mustapha El Khalfi, l’une des figures du parti de la lampe et non moins directeur de publication
Après l’annonce des résultats partiels donnant une nette avance au PJD, l’heure est aux tractations pour la formation d’un gouvernement de coalition. Le secrétaire général du parti de la lampe, conscient qu’il est «obligé de s’allier avec les autres partis» exclut tout de même cette éventualité avec le PAM. Les partis de la Koutla pour leur part, comptent faire front commun pour
Pourquoi vote-t-on le vendredi au Maroc ? Une question qui revient souvent à l’approche de chaque scrutin organisé dans le royaume. Le choix de tenir les élections en ce jour sacré pour les musulmans a-t-il un fondement juridique ou s’agit-t-il juste d’une décision politique ? Eclairages.
Dans le cadre des législatives du 25 novembre, Yabiladi.com donne la parole aux acteurs politiques marocains. Abdellatif Maâzouz, ministre du Commerce extérieur et membre du Parti de l’Istiqlal dresse, dans ce premier entretien, le bilan du gouvernement sortant et revient sur le nouveau programme de son parti. Maâzouz n’exclut pas une alliance avec le PJD et tire à boulets rouge sur l'alliance de 8 partis désormais baptisée G8.
Après avoir impressionné le monde entier par leur détermination à chasser Ben Ali du pouvoir, les Tunisiens ont de nouveau surpris par leur forte mobilisation ce dimanche 23 octobre. Le taux de participation dépasse les 90%, à en croire la Commission électorale indépendante (Isie). Cette très forte mobilisation populaire va-t-elle, comme la révolution du Jasmin s’étendre dans les autres pays arabes comme le