Le 28 décembre 2014 à Rabat s’est réuni le Conseil de coordination national (CNN) d’Attac Maroc pour faire le bilan de l’année qui s’est achevée et adopter le programme de 2015. Les participants ont insisté sur les effets négatifs de la crise du capitalisme mondialisé sur l’économie marocaine. Les membres du CNN ont également condamné la poursuite des plans
Depuis sa constitution, le mouvement Anfass s’est assigné une mission prospective avec comme horizon temporel 2030. Partant de ses valeurs fondatrices, le mouvement a présenté sa vision d’une politique fiscale efficace basée sur un pacte de citoyenneté et sur l’optimisation du potentiel de ressources pour l’Etat. Nous avons ensuite présenté notre vision pour les réformes des secteurs sociaux
Depuis la victoire du Parti Justice et Développement (PJD), Abdelilah Benkirane ne cesse de nous rappeler, qu’au Maroc, nous ne vivons pas dans un monde rationnel.
A quelques jours de l’adoption, en conseil de gouvernement, du projet de la loi de finance 2013, des informations font état de l’intention de l’équipe Benkirane de réduire de moitié, par rapport à 2012, le nombre de poste d’emplois dans la fonction publique.
L’année 2013 approche à grands pas et le gouvernement marocain s’attèle à énoncer les grandes lignes de la loi de Finances, après une année 2012 difficile. Quelques éléments sont cruciaux : la fiscalité, la caisse compensation et le protectionnisme.
Après la cession de 20% de la Banque Centrale Populaire et la vente de la Société des Sels de Mohammedia, l’Etat, à la surprise générale, fait marche arrière sur la privatisation des 7 de ses 30% de Maroc Telecom. Cette volte-face relance le débat sur les solutions envisagées par le gouvernement pour sauver les finances publiques dont le déficit ne cesse de s’alourdir.