Des chercheurs marocains et étrangers se sont intéressés à des zones côtières entre El Jadida et Essaouira pour alerter sur la pollution de la mer par les métaux lourds, grâce à l’analyse des algues bruns qu’ils ont utilisés comme indicateurs.
Les équipements de protection individuelle, dont les masques de protection prolifèrent notamment sur les plages d’Agadir. Une étude menée par des chercheurs marocains pointe le manque de sensibilisation et d'éducation environnementale.
Si le pays ambitionne de réaliser une indépendance énergétique en tablant sur les centrales à charbon, à gaz ou utilisant le fioul, la pollution atmosphérique liée à cette production d'énergie coûte au Maroc 18% de son PIB, selon une étude publiée récemment par deux chercheuses allemandes.
Alors que le Maroc est confronté au stress hydrique et l’irrégularité des précipitations, certains oueds des plus importants du royaume, comme Oued Sebou, sont particulièrement menacés par la pollution.
La pollution de l'air extérieur par NO2, SO2, O3 et PM10, déjà alarmante dans le Grand Casablanca, augmente le nombre de visites aux urgences dues à des maladies respiratoires tout comme la morbidité chez les enfants et les adultes de cette région, selon une nouvelle étude de chercheurs marocains.
Si la décharge d’Oum Azza, située à 30 kilomètres à l'est de Rabat, est à l’origine d’une pollution de l’Oued Bouregreg, qui provoque des odeurs insoutenables, plusieurs traitements du lixiviat sont expérimentés ou adoptés dans d'autres régions du Maroc.
A la suite des révélations sur la pollution de la rivière du Bouregreg par les liquides toxiques des déchets fermentés (lixiviat) provenant de la décharge d’Oum Azza (Akrach), les voix se sont élevées pour dénoncer cette fois-ci la gestion des conséquences de cette catastrophe environnementale. Pour en débarrasser l’oued, le lixiviat serait déversé directement dans la mer.