Il y a donc eu plus de peur que de mal cette année. A la veille de l’Aïd el Kebir, l’inquiétude planait quant à l’Etat de nos villes pendant la fête. Mais visiblement, entreprises de nettoyages, autorités et société civile semblent s’être mieux préparés, même si le bilan n’est pas parfait.
Alors que Rabat est inscrite depuis le 29 juin dernier au patrimoine mondial de l’Unesco (cf notre article), les habitants de la ville se plaignent de la trop grande insalubrité qui règne dans la capitale du royaume, sous le regard «indifférent» de la mairie.
Production d’énergie, création d’emplois et de profit, voilà autant de bienfaits qu’on ne soupçonne pas dans les déchets que nous produisons au quotidien. L’ambitieux projet d’une entreprise anglaise établie à Ouarzazate est sur le point de montrer que même les détritus peuvent être utiles.