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Grand Angle

Liaison Sète-Tanger: la SNCM et les Armateurs réfléchissent à des solutions

Toujours pas de reprise sur la liaison Sète-Tanger, la SNCM étudie déjà l'éventualité de desservir le Maroc. Les armateurs marocains, quant à eux, n'ont pas encore de solution croncrète.

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Temps de lecture: 2'

En France comme au Maroc, les acteurs du transport maritime se bougent les neurones afin de trouver une solution pour le déblocage du port de Sète. La liaison Sète-Tanger  est interrompue depuis le 7 janvier dernier. Deux navires de la Comanav-Comarit y ont été saisis par les autorités françaises pour cause d’impayés. La liaison avait été instantanément rétablie le samedi afin que les passagers regagnent leurs familles, sous l’intervention du ministre chargé des MRE.

SNCM sur le marché marocain ?

L’heure est actuellement à la réflexion pour décanter la situation. La SNCM serait en train d’étudier la possibilité d’élargir son offre sur le Maroc, qui assure déjà la liaison entre la France et l’Algérie ainsi que la Tunisie, rapporte Econostrum. Selon la directrice de la communication, Françoise Merck, «La desserte du Maghreb en général est importante pour la SNCM. De ce fait, nous étudions ce que nous pourrions proposer dans ce cas précis, mais pour l'heure il n'y a rien de concret».

Au Maroc : système à l’ancienne, les armateurs réfléchissent à des solutions

Le Comité central des armateurs marocains (CCAM) évoquait à Econostrum la nécessité  «pour le Maroc de sécuriser par ses propres moyens maritimes une partie de ses échanges de biens avec l'extérieur et le transport de masse de ses Marocains résidant à l’étranger (MRE)».

N’ayant pas encore des propositions concrètes, le CCAM préconise tout de même la mise en œuvre d’une nouvelle politique maritime afin de rendre les entreprises nationales plus compétitives. «La libéralisation du secteur maritime en 2007 n'a pas été accompagnée par les mesures nécessaires de mise à niveau des entreprises nationales qui sont toujours régies par le cadre législatif du code du commerce maritime de 1919 et par un régime fiscal qui ne permet pas une concurrence loyale» assure le groupement professionnel».

Il est sans ignorer que l’état des bateaux marocains est vétuste. Ce qu’a admis le président du CCAM, Mohamed Karia à L’Economiste.  «Dans quelques années, la plupart des navires de la flotte marocaine devront aller à la casse. Ils ne répondront plus aux exigences européennes et ils doivent donc être remplacés». Seulement, leur réparation «coûte très cher parce qu’il faut le faire en Europe, le Maroc ne disposant pas de chantiers navals», a-t-il ajouté.

Il apparait clairement que les compagnies maritimes nationales perdront considérablement des parts de marché si le SNCF décide d’élargir son offre. Pour l’instant, il n’y a encore «rien d’officiel, les échanges se font de manière informelles», comme l’affirme à Yabiladi le responsable communication du CCAM.

revelation
Auteur : 2002nidal
Date : le 14 février 2012 à 14h51

موظف سابق بـ (كوماناف) يكشف خروقات خطيرة

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أفادت"الصباح"، أن (م.أ)، موظف سابق بالشركة الوطنية للملاحة التجارية (كوماناف)، وجه رسالة إلى الوكيل العام للملك بالدارالبيضاء، تتضمن خروقات واختلاسات وتبذيرا للمال العام.



وكشفت الرسالة، الموقعة من قبل موظف قضى حوالي عشرين سنة في الشركة، ما اعتبرته اختلاسا للمال العام، من خلال شراء باخرتي وادي زيز وووادي الذهب بـ19 مليار سنتيم للواحدة، وتسجيل مبلغ 26 مليار سنتيم، أي باختلاس بلغ 14 مليار سنتيم من الثمن الحقيقي للباخرتين معا.



وتحدث الوظف السابق بالشركة عن ودائع للشركة بالملايير بأحد البنوك، قبل أن يتحول الأخير إلى دائن لها، كما طالت الخروقات فيلتين بمنطقة "رستينكا" بتطوان، بيعتا بعد ذلك دون أن يعرف مصير الأموال.



وقال الموظف في الرسالة نفسها، إن مسؤولي الشركة كانوا يبيعون بواخر صالحة للاستعمال ويعيدون كراءها من أصحابها بالعملة الصعبة، كما تحدث عن فواتير تحمل مبالغ مالية تخص إصلاحها دون أن يتم ذلك
Comarit : remboursez vos clients lésés !
Auteur : wilsud
Date : le 16 janvier 2012 à 15h30
La première mesure à prendre consiste à ce que le gouvernement marocain contraigne la Comarit à rembourser ses clients qui lui ont, malheureusement, fait confiance !

Pour l'instant, Euromer, représentant cette compagnie irresponsable en France, se déclare dans l'incapacité de récupérer les fonds versés pour les billets vendus. Les réservations de janvier et février ont été enregistrées jusqu'au 7 janvier...

Les autorités marocaines s'honoreraient à contraindre la Comarit à rembourser rapidement ses clients auprès desquels elle a honteusement failli.
Transport
Auteur : JLNO
Date : le 16 janvier 2012 à 09h25
C'est peu être un mal pour un bien, cela évitera peut être qu'il arrive encore une nouvelle catastrophe maritime, vu l'état d'entretien des bateaux.
Espérons, une solution pérenne avec des navires digne de ce nom et des prix attractifs.
Les 4 vérités
Auteur : aswatfree
Date : le 14 janvier 2012 à 20h14
La cause principale de la saisie des Ferries Biladi,Marrakech et Bni Nsar c’est la très mauvaise gestion de la famille ABDELMOULA propriétaire de la compagnie comarit
Comanav.
1-Salaire astronomique des dirigeants,
2- ouverture partout en Europe des agences Biladi voyage qui s’est avéré une grande erreur stratégique et qui ont fait subir à la compagnie de grande perte alors qu’il pouvait continuer à travailler avec des agences de voyages moyennent une commission.
3-Ouverture des agences dans tous les aires d’autoroute Rabat Tanger med et personnes ne s’arrête dans ses endroits pour cause la plupart des clients achètent leurs billet aller/Retour en europe.
4-Perte politique à Tanger alors qu’il été gouverneur de la ville sous le parrainage du
Parti authenticité et modernité et il tourne ça veste soudainement pour intégrer le
Parti de la justice et du développement et se présente à Sidi Kacem, qui sait combien de million il a gaspillé pour gagné un siège au parlement ….
Il faut que la justice marocaine voit tous ça de très prêt !!
Comarit: escroquerie le 7 janvier 2012 ?
Auteur : chuckofmorocco
Date : le 14 janvier 2012 à 11h46
La liaison avait été instantanément rétablie le samedi afin que les passagers regagnent leurs familles, sous l’intervention du ministre chargé des MRE.

Mensonge ou erreur du journaliste :
Nous étions le dimanche 8 janvier 2012 à Barcelone pour embarquer sur le bateau "Excellent" de la compagnie GNV et nous avons rencontré de nombreux marocains ou des résidents étrangers au Maroc qui avaient achetés leur billets sur le "Biladi" de Comarit et qui ont dû racheter des billets à Barcelone sans bien sur avoir été remboursés à Sète..
Eux parlaient d'une escroquerie, Comarit ayant vendu des billets jusqu'au samedi 7 janvier, sachant très certainement qu'elle ne remplirait pas son contrat..
La première règle de conduite d'un journal, c'est de dire la vérité !


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