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Grand Angle

Maroc : L'USFP et les jeunes du 20 février sur la même longueur d'onde

L'USFP tente de se distinguer parmi les partis au gouvernement. Selon Ahmed Zaidi, l'USFP est restée neutre par rapport aux manifestations du 20 février. Un communiqué du parti appelle à des réformes constitutionnelles. L'USFP met ainsi en avant un revendication qu'il porte depuis longtemps et partage avec les jeunes du 20 février.

Publié
Les camarades de Radi exigent un agenda de réformes
Temps de lecture: 1'

L’Union socialiste des forces populaires (USFP) «n'avait appelé ni à boycotter ni à soutenir les manifestations du 20 février» selon Ahmed Zaidi, le président de son groupe parlementaire. Cependant, aujourd’hui, le parti «reconnait l’importance des manifestations» de dimanche dernier selon toujours ce membre de son bureau politique qui a été contacté par l’AFP.

Agenda de réformes

Ce parti, membre de la coalition gouvernementale, appelle également à des «réformes» et demande à ce qu’un «agenda» soit établi pour leur mise en œuvre. Les camarades d’Abdelwahed Radi, qui veulent être «en phase avec les revendications des jeunes Marocains», constatent que «les réformes politiques commencées il y a 15 ans au Maroc sont maintenant consommées».

Pour le chef de file des députés socialistes au Parlement, «les réformes dont le Maroc a besoin sont de nature institutionnelle, pour donner de la crédibilité à l'action politique à travers le rétablissement de la relation entre les élections et la décision politique».

Alignement sur une des revendications des manifestants

Pour y parvenir, l'USFP réclame des «réformes constitutionnelles» visant à édifier «des institutions fortes et capables de promouvoir les affaires du pays». Ainsi, l'USFP, en plus de souligner sa neutralité concernant les manifestations elles-mêmes, demande à renforcer le pouvoir de sanction des citoyens marocains. Le parti remet ainsi sur la table une de ses anciennes demandes qui est en accord avec les revendications majeures du mouvement du 20 février.

Partis politiques
Auteur : ALKHAYAM
Date : le 27 février 2011 à 12h22
Les partis politiques doivent assumer leurs reponsabilités dans ce qui se passe actuellement, eux qui connaissent mieux que quiconque la politique, autrement ils perdront toute crédibilité et légitimité
oui
Auteur : hakimhassane
Date : le 27 février 2011 à 09h18
ils ont pris place avec les marionettes
Radi en la théorie et la pratique
Auteur : moirk
Date : le 26 février 2011 à 21h23
Nos s"oit disant intellectuels comme Radi, Laaroui,---" ont toujours réclamer qur le Maroc se réforme pour avoir plus de libérté et de justice. Ces demandes sont rétés dans les discours- Une fois qu´ils ont gouté aux privilèges et se sont fait récuprés en devenant ministres.......etc. Ils ont trahi toute une population par leur opportunisme. Les vrais intellecteuls traduisent la théorie en pratique. S´ils n´ont pas les moyens, ils doivent démisionner pour prouver leur integrité. Ceci n´as pas eu lieu.
Oublier L´USFP
honte sur les partis marocains
Auteur : Mazagui
Date : le 26 février 2011 à 13h24
si tu survivre travaille, si tu veux dir labass adhere à un parti marocain
USFP & Co
Auteur : CitoyenX
Date : le 25 février 2011 à 17h12

on voit bien les roquins roder autour des jeunes !!

c'est pas nouveau pour les socialistes et la plupart des partis politiques traditionnels !!

je suis pour supprimer les partis politiques et laisser le Roi et son peuple (technocrates, sages, intellectuels, universitaires,...) gérer ce pays.
les partis politiques s'occupent plus souvent des calculs politiciens et partisans, sétriles, plus que de l'essentiel et de l'intérêt de la nation...

si c'est un mal nécessaire, il faudrait limiter le financement aux 5-8 partis les plus importants. les autres doivent mettre la main à la poche.

au Maroc, nous avons plus de 20 partis politiques !! c'est hchouma !! se sont des fonds de commerces !!
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