Le dimanche 6 mars à Alger, le secrétaire général des Nations Unies, annonçait lors d’un point de presse, une nouvelle tournée de son envoyé personnel dans la région y compris le Maroc. Aujourd’hui, Christopher Ross est contraint de reconnaitre, dans un mail adressé à l’agence espagnole EFE, que sa visite au royaume pourrait être «compromise». Et il en est de même pour celle que prévoit d’effectuer Ban Ki-moon au Sahara en juillet, a-t-il ajouté.
Dans sa réponse écrite, le médiateur onusien a évité de réagir au communiqué du gouvernement marocain du mardi 8 mars. «Nous devrons attendre un éclaircissement de la situation», tempère Ross.