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Lalla Salma dans la sélection des princesses d'orient de Vanity Fair‏

Quand on parle de classement des femmes de pouvoir dans le monde arabe, Lalla Salma fait souvent bonne figure. Et Vanity Fair ne déroge pas à la règle. Selon le magazine culturel, elle est l’une des «princesses les plus influentes du monde arabe».

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La princesse Lalla Salma sur la Powerlist de VanityFair
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Son influence ne faiblit pas. Lalla Salma est sur la Powerlist des princesses les plus influentes de Vanity Fair. Déjà en 2011, l’épouse du roi Mohammed VI faisait partie du classement des 50 personnalités les plus influentes du monde du magazine The Middle East.

C’est que Lalla Salma peut compter sur plusieurs atouts que relève le magazine Vanity Fair. Ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation Mondiale pour la santé (OMS), elle fait de la lutte contre le cancer son combat. En 2006, la princesse crée l’Association Lalla Salma de lutte contre le cancer (ALSC). L’association ouvre des centres de traitement, met en place des maisons d’accueil des malades. L’ALSC acquiert du matériel de pointe et lance plusieurs campagnes de sensibilisation.  

Une princesse populaire et moderne

Mais les atouts principaux de la princesse Lalla Salma relevé par le magazine culturel sont sans doute sa popularité et sa modernité. Sur le volet popularité, la princesse est très proche de son peuple. Issue de la classe moyenne, cette ingénieure est la première femme de souverain à obtenir le titre de princesse et d’Altesse Royale ainsi que celui de première dame. Maîtrisant parfaitement l’image devant les objectifs, elle se fait photographier ici sur un lit d’hôpital pour une campagne de don de sang et là avec des enfants atteints du cancer.

Côté modernité, elle promeut le combat par l’éducation contre « les démons du choc des civilisations», «contre l’ignorance, l’ostracisme, le fanatisme et le terrorisme». Mais ce qui ne passe pas inaperçu, c’est son look. Une longue chevelure rousse mise en évidence aussi bien par des robes de grands couturiers parisiens que de caftans traditionnels décorés. Celle qu’on compare souvent à la princesse Rania de Jordanie, incarne bien le Maroc du XXIème siècle : à la fois moderne et traditionnel.

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