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Grand Angle

Much Loved : Nabil Ayouch dans la tourmente

Ce week-end n'aura pas été de tout repos pour Nabil Ayouch et l'équipe du film Much Loved. Après les fuites de plusieurs heures de rushs du film sur internet, les internautes -même ceux qui étaient du côté du cinéaste- ont exprimé leur colère. 

Publié
Nabil Ayouch, réalisateur de Much Love / DR
Temps de lecture: 2'

Décidément le dernier film du réalisateur franco-marocain continue de déchaîner les passions de tout bord et provoque un tsunami sur le web. La découverte de certaines scènes à caractère pornographique du film qui auraient vraisemblablement fuité de la post-production a choqué les internautes et créé un véritable tollé sur internet.

Alors qu'ils étaient plus de 31 000 fans sur la page Facebook du film, dont une grande majorité qui soutenait le réalisateur afin de défendre la liberté d'expression, celui-ci vient de voir ses propres soutiens changer de camp. En effet, la découverte de scènes affichant des prostituées en plein ébats amoureux a suscité des centaines de commentaires négatifs fustigeant le réalisateur. On lui reproche des scènes pornographiques, extrêmement choquantes.

Des centaines de commentaires négatifs

«Avant de voir le film j'étais totalement avec Nabil Ayouch parce que je pensais que c'était une histoire qui raconte la misère d'une fille marocaine ou entre parenthèse de la souffrance des prostituées marocaines avec les Saoudiens. Mais malheureusement j'étais choquée de voir un film avec un niveau aussi vulgaire» a déclaré Souzane El.

Nabil Ayouch et les producteurs ont tenté de se justifier maladroitement sur la fuite des rushs du film, en menaçant toute personne qui diffuserait ceux-ci de poursuites judiciaires. Mais Aymane leur répond : «Le crime n'est pas de les diffuser illégalement mais plutôt de les filmer. Je porte à votre connaissance que les films pornographiques sont considérés comme des délits». 

Même ceux qui ont vu le film en France ne semblent pas convaincus. «J'ai vu ce film il y a quelques jours. Ayouch n'est pas très différent d'un boucher, il vend de la viande en prétendant faire du cinéma. Scénario et dialogues ridicules, tournage primitif des scènes pornographiques. Il n'y a aucune valeur ajoutée dans ce film, n'importe quel débutant peut écrire et tourner ce genre de film.», a envoyé Frédéric Bolzano. 

Son distributeur tout aussi gêné

Ce ne sont pas seulement les spectacteurs qui ont changé d'avis sur le film et le travail de Nabil Ayouch. Même le distributeur Eric Lagesse se dit déçu et prend ses distances, alors que sa société Pyramide a acheté les droits du film pour un montant de 400 000 € selon nos sources pour la France, l'Italie et les pays de l'ex-Yougoslavie. 

«J’ai acheté le film le week-end avant Cannes. Je l’ai trouvé formidable. Mais ensuite, je n’ai pas maîtrisé la communication. Notamment le visuel provocant qui montre une comédienne avec un doigt dans la bouche. Cela ne me plaît pas. Si on ajoute à cela les extraits sur Internet, cela rend le film putassier, alors qu’il est plein d’humanité.» a-t-il déclaré au journal Le MondeUn nouveau coup dur pour l’équipe du film.

Droit de réponse de Eric Lagesse

Je lis avec stupeur (et retard) votre commentaire sur l’article de Clarisse Fabre paru dans le Monde du 30 mai dernier où j’étais interviewé en tant que distributeur français du film MUCH LOVED. J’ai relu plusieurs fois le passage que vous en avez publié pour tenter de comprendre votre interprétation et elle me semble être un contresens absolu. Vous me dites « déçu » et vous écrivez que je « prends mes distances » avec le film alors qu’il est écrit noir sur blanc que je regrette que « la polémique m’ait échappée ». Et la polémique, ce sont les censeurs de toutes parts qui l’ont lancée, détruisant un film qu’ils n’ont même pas vu. C’est là ma seule déception.

Sachez donc que je ne regrette pas une seule minute d’avoir acheté MUCH LOVED (vos sources sont par ailleurs erronées puisque je n’ai pas acheté l’Italie et l’ex-Yougoslavie mais uniquement la France).

Article modifié le 2015/06/09 à 17h23

Vous exagérez!
Auteur : netstat
Date : le 02 juin 2015 à 23h43
Hier j'ai pu visionner une grande partie de ce film et j'en tire la conclusion suivante:

1. Les acteurs et actrices ont tellement bien jouer leur rôle que au lieu d'être applaudis ils sont plus tôt menacés de mort.

2. Le film nous montre la réalité de la prostitution au Maroc et en particulier à Marrakech, phénomène que l'état fait mine d'ignorer car impliqué, on le voit à travers ce flic dans le film toujours présent pour récolter sa part.

3. Le film nous montre la décadence du monde arabe divisé en 2: les faibles économiquement(ici le Maroc) et les riches(ici l'Arabie Saoudite) d'ou la prostitution, mais les 2 côtés sont victimes de leur mentalité car après tout ils ont un cœur, on le voit par le lien d'amour qui se crée entre Ahmed le Saoudien et Soukaina la sympathique prostituée, d'ailleurs Ahmed va jusqu'à ne pas vouloir coucher avec celle ci car il sent qu'il l'aime et lui demande de l'épouser.

4.Le film nous montre des filles qui se prostituent par nécessité car elles ont des familles à charges, on le voit bien avec l'une des 3 prostitués qui a un gamin, un frère, une sœur et une mère à charge; La prostitution c'est leur travail et elles essaient de le faire le mieux possible car la concurrence est rude, tout en gardant leur vie privée honnête, on le voit lorsqu'elles invitent un jeune garçon affamé à leur table et insiste pour qu'il mange, on le voit aussi comme elles respectent leur chauffeur de taxi régulier qui gagne sa vie grâce à ces dernières.

4. Le film nous montre aussi comment même dans le monde de la prostitution la marocaine par sa force naturelle peut d'esclave devenir maîtresse, on le voit lorsque l'une des filles arrive à faire accroupir un saoudien et lui faire subir le rôle d'un chien qui aboie.

En conclusion ce film veut nous montrer un monde Arabe victime du phénomène de la prostitution, soit par nécessité, soit par mentalité ou les 2 à la fois, alors qu'il a encore la base et les atouts de construire un monde meilleur, aussi il nous fait comprendre la facette cachée et hypocrite du monde Arabe dans un monde mondialisé où l'argent est religion.
Plaidoirie pour la liberté de la culture et du cinéma Du pain nu aux jeux chauds
Auteur : DR IDRISSI MY AHMED
Date : le 02 juin 2015 à 23h01

Plaidoirie pour la liberté de la culture et du cinéma



Du pain nu aux jeux chauds


Jennifer Lopez, vient de mettre en challenge et démontrer que le paradoxe entre le licite culturel et l'illicite éthique. Un conflit qui démasque et qui illustre nos paradoxes bipolaires.



La culture est en agonie



Il faut que Mawazine ait lieu dans toutes les villes du Maroc ! Comme ce fut du des concerts dans les stades qui animaient la vie artistique du temps d’Hassan II. Et ces activités doivent avoir lieu chaque mois ! Où est passé le théâtre ? Seulement à la télé ! Que sont devenus les cinémas, ces chapelles de villes et autres scènes de quartiers ? Tués par les cassettes, puis remplacées par des DVD. Où sont les lecteurs, quand il y a si peu d’encouragements aux penseurs aux écrivains et? Où sont les librairies encore ? Elles sont devenues des papeteries et des immeubles en dur.



Culture et bavures contradictoires



Jennifer de Mawazine



Il y a deux jours, Jennifer Lopez était en concert de Mawazine à Rabat. Une dynamite essoufflante, qui fut reprise in live, sans censures ni coupures, sur 2Mtv.

C’est une plaidoirie sculpturale, au profit du cinéaste, qui a été démonisé. Il y a de quoi rêver, à en rester perplexes et ahuris. Ses déhanchements lubriques, ses extatiques ondulations sur scène, plaisent aux jeunes et plaident pour le ‘’Much loved’’ d’Ayouch, dont le film est proscrit. Match nul !



Des plages de libertés



Il y a là aussi des femmes, en bikinis, plus nues encore que la diva. Mais il faut attendre l’été pour les voir, comme des sirènes sur les plages…Dignement, librement, sans entraves ni censure, et qui plus, pour tous, en famille et gratuitement. Mais là, les gens ont le choix, il y en qui n’aiment pas le soleil et qui ne supportent pas le soleil, et ils n’y vont pas. D’autres ont leurs raisons, la pudeur religieuse les en empêche. C’est un credo respectable. C’est leur devoir, leur morale et leur droit.



Ces exemples sont une défense à l’avantage du filmographe, cet artiste, chercheur dans les rues et les bars, explorateurs de nos écarts, qui a été sévèrement diabolisé. Si le peuple des bidonvilles et des barmaids parle le langage trash et cru des putes du film de notre cinéaste, ça laisse les bonnes gens échaudées et refroidies à la fois. Faut-il penser que le peuple soit émasculé et sourd aux envies ? Il y a beaucoup de scanneurs de fesses, assis aux abords des cafés. C’est une culture. Faut-il les emmurer pour leur éviter de zyeuter les passantes et les passants ? Car c’est bien désagréable de se sentir, suivi par leurs lasers pénétrants. Et, c’est à minima, comme du harcèlement.



Faut-il dire de nos gens que c’est peuple de dévots, des mystiques intimidés, qui ne comprennent rien aux paroles de Jennifer et qui ne lisent que les sous-titres de ses rares vêtements ? Et que seuls les dévoyés et les voyous perçoivent le sens érotique et les contorsions lubriques de J LO. Des mordus, en panne de gémissements, qui s’en excitent et s’enivrent, comme s’il n’y avait pas de vraies femmes au pays pour les rendre heureux ? Sauf que là, près de chez eux, en la capitale, là sur scène et pour de vrai, ce n’est pas un jeu d’actrices de cinéma, à deux sous, mais une dame onéreuse, une vraie bombe, en chair et en os qui les enchante ! Avec de la musique et de la danse, à la place des mots ! Damner le premier et lui permettre de jouir de ses libertés à la seconde, est aux antipodes de l’équité ! Elle, qui a été bigrement honorée, lui quasiment menacé physiquement, est antinomique et partial. Simulacres et tartuferies, gouvernance délicate, cette mascarade tourne au vertige et au vinaigre. Et comme pansements, il y a cette permissivité, qu’il est de louvoyer autour de nos erreurs et de nos fourberies, appelant l’oubli à nous en pardonner ! Et comme résilience, de nous complaire avec nos erreurs, pour nous surpasser et avancer.



Le loup de Mégarama



Les censeurs haletants, se sont-ils tus ? Je ne le pense pas. Ce film a eu un impact essentiel inespéré ! Social, politique, culturel, ce alors qu’il n’est même pas sorti ! Pour appuyer mon hésitation, on me réfère au film projette au Mégarama, sus cité : « Le loup de Wall street », de Leonado Di Caprio. J’y ai vu des scènes hautement érotiques, sur ce film qui n’avait pas été interdit. Des prises de vue de fesses nues, striées de poudre que l’acteur sniffait. Argent, drogues, positions lubriques des faunes et des démones de lits, rien ne manquait.



Je n’accable personne.



Je ne juge même pas. J’observe un conflit. On ne comprend plus rien, on ne se comprend pas, non plus. On ne sait plus qui nous sommes, ni où l’on va. On ne sait plus quoi voir ni ce que l’on voit. On ne retient que ce qui est interdit…Attention les mafiosos libertaires, sont là. Je fais encore allusion aux années de prohibition…



Je réclame un diagnostic, social, anthropologique, scientifique, psychologique, médical, cultuel culturel et politique, à la fois et à froid. Parce qu’on est déstructurés, paumés et déchirés, entre deux clans opposés sur cette question.



Cela rejaillit sur l’enseignement, son niveau ou sa nullité, ses horizons, sur les langues usitées, leurs contenus, leurs impacts sur la famille, le travail et la citoyenneté. Donc sur la communauté entière et sur la politique du pays. Tout se confond. La livraison est hypocrite. On ne se comprend même pas avec soi-même.



Regardez les réunions et comment les harangues des partis politiques, qui profitent des différences, incriminent et diabolisent l’autre en brûlant, à mort cet autrui. Ils, les parangons, s’entredéchirent à l’image des injures proférées et des pugilats. Autant de cirques de gladiateurs et de tribuns meurtriers. Pire que du temps des romains ! Et pour le sentir, il y a ces tweeters et ces textos, envenimés et arrogants, qui ternissent les forums. Et leur ouverture publique, pour la compréhension et l’entendement.



Les jeunes, de la culture à la politique



A la fin des struggles, on livre le Parlement au chômage des absents. Et au silence, le Pays, et ce durant des mois entiers. Le choc des Titans, j’en ai assez parlé avant ! Un vide complexe, sinon des attentes sidérées et des simagrées, pour se remplacer, les uns par les autres, bizarrement et n’importe comment. Un échangisme, torride, caricatural et antinomique, simiesque et comique, avec les ennemis d’hier. Des anges démonisés qui deviennent subitement des complices tolérants. Les comparses d’aujourd’hui sont-ils nos amis ou nos ennemis de demain ! Tant mieux, si l’on se regroupe. Mais tout le monde ne saisit pas ces ‘’nuances de Gray’’, ces diatribes et puis ces assortiments. On se sait plus où l’on est dans ce pays nôtre, aux 40 partis, si opposés et si complaisants ! Alternances, sans crédit pour demain ni pour la continuité. Demain, de quoi sera-t-il fait ? Et le profil du marocains, qui s’en soucie ?



Quoi enseigner comme cultures, comme musiques, comme arts, comme filmologie ? Quels livres donner aux enfants et aux jeunes adultes, en mal de soi, dans leur pays ? Google, le Web, le leur dira, en les formatant ! Au citoyen de demain, quelle culture lui offrir, pour sculpter sa personnalité ? Sa force, sa fierté, sa dignité, son identité, sont en mal de repères et de principes. Quoi leur enseigner? La diplopie !



Nos jeunes, notre éducation sont à réparer. Leur esprit est ailleurs, il n’est pas dans cette nationalité-là ! Désancrés du pays, qu’ils ne se reconnaissent pas, ils sont attirés par les fantasmes de ces horizons étrangers, qu’ils se revendiquent comme imagos et comme fans. Des horizons, à 15 kilomètres, à 15 minutes, pour leurs libertés, leur argent et leur modernité ! Il est extraverti, le marocain, il est possédé par un spectre, par ceux qui le chassent, qui le détestent et qui le haïssent.

Leur façon de voir le bonheur, aux jeunes adultes, la signification et le sens de la vie n’est pas dans ce pays. Ils ont le corps ici et leurs idées ailleurs. A l’Est pour les uns ou au Nord pour beaucoup ! Des complexes colonisés, nous rassemblent nous débilitent et nous usent. Mais on ne peut pas s’empêcher de marcher, ensemble, la tête haute, pour nos libertés et notre personnalité!



Dès lors, qu’est-ce qui peut leur convenir ? A nos mutants ! Quels arts doivent-ils pratiquer et l’ado et cet homme, muri, enkysté et emmuré ? Quels films doivent-ils regarder ? Quelle liberté de choix leur garder, quelles possibilité de création ou de terne passivité ?



Populisme ?



A quelle dose homéopathique de bonheur doit-on les livrer ? Au kif que l’on veut promotionner et légitimer ? De quoi s’empiffrer ! Non seulement au Rif dénudé, mais au Sahara désert et au paradis vidé ! Un bel et nouvel alibi pour certains partis, indépendantistes férus qui veulent qu’il y ait des médicaments dans le kif, de quoi soigner les dépits et les angoisses, les douleurs de tous les terriens ! Programmes discutables. On est paumés ! Prothèse politique ou thèse attractive d’une authenticité pâmée ? Une belle thérapie, qui nous vaut déjà tellement de haines, de malades aggravés et d’ennemis dépravés. A côté de chez nous, les braves soumis nous tirent dessus ! On nous descend pour notre régime, pour nos putes, pour ce kif et pour ces relatives libertés.



Annihilés, paralysés ou déstructurés, nos jeunes, qui s’entretuent aux couteaux et aux tcharmils se sabrent. Armes aux poings pour un phone ou des espas marquées qu’ils veulent arracher ou voler, là sur les abords des collèges, afin de s’acheter de quoi kiffer et s’intoxiquer ! Alors, le kif est aussi ce péril de schizophrène. Certains le cultivent ou le vendent illégalement, parce qu’il rapporte beaucoup d’argent à blanchir pour ces gars, ou simplement des maladies et de la prison !



Bien de nos jeunes semblent livrés aux fantasmes des drogues ! Mais aussi au fantasmes des images virtuelles, celles des fortunes vite faites. Celles des boat-peoples ne les effraient pas assez ! Celles avec des horizons sanglants, qui interpellent les humains pacifistes, ne les répugnent pas assez. Que faire pour les en décourager ? Comme le témoignent les déchirements du Moyen-Orient, où nos référentiels et nos amis, se déchirent, larga manu ! Des images barbares circulent. Celles des têtes coupées, comme des ballons lâchés, ces corps écartelés, ces femmes lapidées, ces fosses communes remplies et explosions à l’envie.



Le bug d’Ayouch, qui a scandalisé le bon peuple, les éditorialistes, les polémistes des forums, est un révélateur de notre déchirement. De cet état de lambeaux culturels hérités, de notre de patchwork cultuel fragmentaire et de pénalités difractées. Il est la résultante de notre état postcolonial de peuple pacifiste, de terres et de campagnes, encore effrités et colonisés ! Il est le reflet de notre bonhommie, de notre personnalité dissonante, aux multiples langues, souvent mal maitrisées. Sommes-nous des schizophrènes, dépolarisés, extravertis sur deux mondes opposés ou plus encore ?



Et ce phénomène des femmes ‘’Much loved ’’ de l’Ayouch, si mal aimé ? C’est un révélateur sociologique ! Il doit, comme film à visiter et non conspuer, ouvrir encore plus de discussions, apaisées… Des vannes des politicards pas seulement, mais aussi des vannes d’idées à ouvrir, pour les exploiter, sans haines ni arrogances préconçues ! Ce, afin de changer, d’évoluer sans hypocrisie, ou pour se défendre et s’en vanter ! Et se détendre, pourquoi pas !



Les censeurs haletants, se sont-ils tus ? Je ne le pense pas. Ce film a eu un impact essentiel inespéré ! Socio politique, culturel, alors qu’il n’est même pas sorti ! Pour appuyer mon hésitation, je me réfère au film projeté au Mégarama, Le loup de Wall street, de Leonado Di Caprio. Et ce n’est pas un déni. Dans ce film qui n’avait pas été interdit, j’y ai vu des scènes plus que suggestives et lascives, plus qu’impudentes obscènes, mais guères érotiques. Des prises de fesses nues, striées de poudre que l’acteur sniffait, argent, drogues positions lubriques des faunes et des démones de lits, rien ne manquait. Le film ne résout aucun problème. Pourquoi le demander a Jennifer ou à Ayouch



DR IDRISSI MY AHMED

Kénitra, le 31 mai 2015





Voir mes écrits antérieurs sur Libération.



http://www.libe.ma/Ayouch-et-ses-femmes-si-aimees_a62693...



http://www.libe.ma/%E2%80%8BLes-prelats-du-web_a62590.html

http://www.libe.ma/%E2%80%8BPlaidoyer-pour-la-liberte-de-la-culture-et-du-cinema-Simulacres-et-tartuferies-tournent-au-vertige-et-au-vinaigre_a62873.html
un truc de fous
Auteur : hotmanbko
Date : le 02 juin 2015 à 18h12
Si y avait bien des scènes hot dans ce film qui a bien été tourne au Maroc ou été alors nos autorités alors !!! Ils dormaient
nuance
Auteur : homme_94
Date : le 02 juin 2015 à 17h32
Il ne faut pas s'enflammer. Je n'ai dit aucun mal de vos proches. J'ai commencé ma phrase avec "SI" tu peux regarder! nuance!!!

Je t'invite à regarder le film et après, tu nous diras si tu trouves que nabil ayouch ( qui n'est marocain que du côté de son père puisque juif du côté de sa mère et a grandi en France ) a toujours le mérite (selon tes dires) d'évaluer la bêtise humaine!!!

Cordialement,
Dernière modification le 02/06/2015 18:11
WAYEH..YA-SIDI...BAZZZ-3ALIK
Auteur : Daït Aoua
Date : le 02 juin 2015 à 17h02
Monsieur Ya-Hhouya.....que vous vous exprimer c'est normal, et c'est votre droit....mais que vient faire ici mes parents, ma famille, ATAY et la philosophie....?

Ne croyez-vous pas qu'il est plus sage de vous exprimer autrement pourtant la langue française est assez riche en grammaire......pourtant vous vivez en Europe vous devez donner l'exemple...je me trompe ...ou est-ce l'effet du film qui fait son effet....? ya Khouya Parisien.....!!!!!
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