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Addoha : Baisse de 22% du chiffre d’affaires en 2014

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Le groupe Addoha a présenté mardi 7 avril 2015 ses résultats au titre de l’exercice 2013-2014. Le groupe spécialisé dans l’immobilier a enregistré un chiffre d’affaires consolidé en 2014 en baisse de 22% par rapport à 2013, et qui s’établit à 7,04 milliards de dirhams, correspondant à 17 641 unités livrées.

La marge brute au 31 décembre 2014 s’élève à 1.96 milliards de dirhams contre 2.48 milliards de dirhams en 2013. Le résultat d’exploitation courant à fin décembre 2014 s’établit lui à 1.33 milliards de dirhams contre 2.10 milliards de dirhams en 2013. Quant aux fonds propres consolidés du groupe, ils s’établissent à 11.6 milliards de dirhams à fin décembre 2014, en progression de 4.5% par rapport à 2013.

L’endettement net d’Addoha au 31 décembre 2014 s’établit à 9.3 milliards de dirhams représentant un taux d’endettement de 80% contre 84% en 2013. Pour rappel, l’objectif du Groupe est d’arriver à un taux d’endettement de 33% à fin 2017.

En 2014, le secteur immobilier a vécu une mauvaise année. Dans ce contexte, Addoha avec un chiffre d'affaire en baisse, a pu maintenir un résultat net positif de plus de un milliard de dirhams. Le groupe a par ailleurs proposé la distribution d’un dividende de 2 dirhams par action, en hausse de 11% par rapport à 2013, marquant ainsi sa volonté d’améliorer progressivement, dès 2015, le rendement de l’action.

Enfin un peu de vérité sur le marché immobilier
Auteur : Hamza
Date : le 08 avril 2015 à 16h22
Enfin un peu de vérité sur le marché immobilier, on nous prend moins pour des pigeons.


Les principaux acteurs de l'immobilier marocains ne tenaient que grâce à l'appui des grands financeurs marocains. Aujourd'hui les impayés s'accumulent et les financeurs ne sont plus capables de supporter l'insupportable. Les taux d'intérêts prohibitifs ne leur permettent plus de rester rentable en attendant que le marché de l'immobilier reprenne.

C'est le début d'un crack à l'Espagnole comme nous le disions depuis longtemps. Ce n'était qu'une question de temps, et les médias qui sont la propriété des grandes fortunes du Maroc couvraient tout ces mensonges pour éviter la dépréciation et les mouvement de baisse.

Le mouvement de baisse devient aujourd'hui un mouvement de panique, et c'est à qui va récupérer son argent au plus vite avant que les stocks ne se déprécient et que les invendus deviennent insupportables.

Qui a dit que le Maroc était à l’abri d'un scénario à l'espagnole alors que tout indiquait le contraire sur le terrain?
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