Menu

Grand Angle

Couac avec des journalistes en coulisse de la rencontre entre Joe Biden et le roi Mohammed VI ?

Des journalistes auraient-ils été interdits de prendre des notes lors du tête-à-tête entre Joe Biden et le roi Mohammed VI au palais royal de Fès ? C’est en tout cas ce que révèle le président des correspondants de la Maison Blanche, Christi Parsons, qui juge «inacceptable» l’attitude de la sécurité du roi.

Publié
DR
Temps de lecture: 2'

L’information n’a pas encore filtré dans les journaux marocains, mais elle vient d’être révélée par le Washington Examiner. Selon le quotidien américain, des journalistes auraient été interdits de prendre des notes lors du tête-à-tête entre Joe Biden et le roi Mohammed VI au palais royal de Fès. Pour rappel, au cours de cette réunion, le roi et le vice-président américain, ont notamment évoqué des questions liées au terrorisme et au développement économique du Maghreb, sans trop parler du dossier du Sahara, avaient rapporté la Maison Blanche.

Mais un autre fait aurait marqué la rencontre Biden-Mohammed VI. Selon le président des correspondants de la Maison Blanche, Christi Parsons, les journalistes qui devaient prendre part à cette réunion n’ont pas pu prendre des notes. «C’est totalement inacceptable», a déclaré Parsons cité par le Washington Examiner. «Nous comprenons que différents pays aient des coutumes différentes, mais les journalistes ne doivent pas être entravés dans l'exercice de leur fonction, même s'il ne s'agissait que d'une brève séance photo».

Séance photo et c’est tout !

Selon Karen DeYoung, une des journalistes qui était du voyage de Biden au Maroc, la presse a été seulement autorisée à assister brièvement à la séance photo et ce, sans prendre de notes. La sécurité du roi a rigoureusement veillé au grain, selon la journaliste. «Je n'ai jamais vu ça», a déclaré pour sa part Jen Bendery, un journaliste accrédité à la Maison Blanche pour le Huffington Post. «Ne pas prendre des notes ? Que fait alors un journaliste dans ce panel ?», s’interroge-t-il.

Julie Mason, une ancienne reportrice de Washington Examiner pour la Maison Blanche a également déclaré qu’elle n’avait jamais entendu parler d'un journaliste interdit de prendre des notes. «La plupart du temps nous nous préoccupons juste d'entrer dans les événements», a-t-elle ajouté.

par quoi
Auteur : yassin987
Date : le 27 novembre 2014 à 18h48
Changer les choses par quoi par un predident empereur qui vol les richesse tant qu il sera au pouvoir confère (ben ali moubarak kadhafi et tant d autre)
Juste vouloir changer pour avoir un président et penser être libre non merci et je pense que beaucoup de marocain pensent ainsi.
presse
Auteur : othmans
Date : le 27 novembre 2014 à 07h25
Joe Bidden a été interviewé. Il n à donne que des réponses diplomatiques même au journaliste qui voulu en profiter pour mettre en avant une ong ennemie du Maroc il a répondu toutes les ong. .. chacun interprète ce qu il veut l avenir clarifier. Ce n est pas après 40 ans de soutiens que les USA abandonneront le Maroc et la partie. La folie algérienne à été contenue et ça continue. Nous sommes toujours dans une relation est ouest le mur de Berlin frontière algérienne tombera!!!
Philosophie ??????
Auteur : sidi_babar
Date : le 26 novembre 2014 à 10h09
Son commentaire sur le verre vide et le plein verre est un peu philosophique, pour moi les gents qui sont au pouvoir doivent être critiqué, sinon , tout ce qu'ils veulent , c'est se perpétuer au pouvoir, lors que la presse est plus libre, avec une société civile active et une démocratie réel, les citoyens d'un pays améliorent leur mode de vie. Après l'indépendance la politique du Maroc est kidnappée par le Maghzen.
Dernière modification le 26/11/2014 10:10
@sidi_babar
Auteur : charmeur de serpent
Date : le 26 novembre 2014 à 09h49
Oui, mais il y a une différence entre une critique constructive et une critique destructive qui émane d'un esprit qui soutient des idées menaçant la stabilité du pays.

Un verre qui est moitié vide, il est forcément moitié plein.
CHANGER LE CHOSES?????
Auteur : sidi_babar
Date : le 26 novembre 2014 à 06h42
Critiquer c'est vouloir changer les choses d'une manière pacifique , dans un pays qui a beaucoup des problèmes de pauvrette et sous développement. En politique le responsable c'est toujours le No 1.
Dernière modification le 26/11/2014 06:45
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com