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Maroc : Le gouvernement assure que le prix du pain n'augmentera pas

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Le gouvernement marocain tient à ce que le prix du pain soit intouchable. Invité par L’Economiste, le ministre délégué auprès du Chef du gouvernement chargé des Affaires générales et de la gouvernance, Mohamed El Ouafa, a indiqué que le prix du pain ne connaitra aucune augmentation.  

El Ouafa a pris comme référence les "émeutes du pain" en 1981. «Pour s'en convaincre, rappelez-vous les événements douloureux du début des années quatre-vingt lorsque le gouvernement a décidé d'augmenter le prix du pain», a expliqué le ministre. Ces émeutes avaient fait des centaines de morts, notamment à Casablanca.

Le ministre exclut dont toute hausse du prix du pain, mais soutient que la réforme des prix est un «un processus irréversible». Il a en outre fait savoir que l’idée de supprimer les subventions et son remplacement par des allocations directes au profit des foyers les plus pauvres serait une «grave erreur».  

ar'roume
Auteur : moha-adam
Date : le 28 février 2014 à 12h33
Moi je voudrais que les gens derrière le mouvement du 20 Février m expliquent vraiment ce qu' ils aspirent à faire du Maroc?

Parce que moi quand je vois comment ont finis ds les autres pays les sois disants revoltes arabes et ben franchement je dis: vive le roi! Parce que au moins aujourd'hui malgré des difficultés que je ne nie pas, chacun est libre de circuler de promettre d entreprendre.....n oublions pas qu' au Maroc il ya des rifis des amazighs des ssoussis des arabes arabes....... Etc etc et moi je doute qu' on puisse après s entandre et se choisir un chef...chacun dira: il faut qu' il soit de notre communauté et résultat ce sera le ko et la machine arrière pour tout le pays....p
Aujourd'hui le Maroc 4% de croissance 1% à peine pour la France...
Des émeutes pour le pain peut-être pas,mais des manifestations se préparent......
Auteur : pouic2011
Date : le 28 février 2014 à 06h38


Au Maroc, le mouvement du 20-Février bouge encore
27 février 2014 | Par Ilhem Rachidi.

Rabat, correspondance

Ils se souviennent tous de cette journée avec émotion. « J’étais avec Nizar Bennamate, un membre fondateur du mouvement. Nous étions les premiers à être arrivés à l’endroit du rassemblement à Bab El Had », dit Abdallah Aballagh, l’un des initiateurs du Mouvement des jeunes du 20-Février. « J’avais peur au début, peur que les gens ne viennent pas, poursuit-il. À 9 h 15, il y avait près de cent personnes. On a commencé à chanter et je ne sais pas comment, d’un coup, nous sommes devenus des milliers. Nous avons pleuré de joie parce que notre peuple ne nous a pas laissés seuls. »

Aujourd’hui, les militants de ce mouvement estiment que leurs revendications ...

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Dernière modification le 28/02/2014 06:39
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