African Lion : Le Maroc revient sur sa décision d’annulation, mais les Etats-Unis n'acceptent qu'en partie [MAJ]

Les vrais malheureux ce sont les dirigeants Algériens, voir certains du peuple également , puisque c ' est eux qui ont la rage , ils veulent spolier le territoire Marocain , ces haineux souffrent !

Les sahraouis vivent mieux et ont plus d avantage que les autres marocains et tous les algeriens reunis. Les droits de homme c est dans les deux sens , c est un droit et un devoir et on mord pas la main qui te nourris, meme les animaux sont plus reconnaissants.
Regarde ce qui ce passe dans les autres pays ou il ya des separatistes et dernierement ce qui se passa a BURMA...a mediter

A mon avis Susan Rice va être limogée. C'est sa 3 e boulette :
- Elle a qualifié de" merdeuse" la politique française au Mali,
-Elle s'est faite refusée comme Secretaire d'Etat par le Senat
- Elle a braqué le Maroc et d'autres membres du Conseil par son projet de resolution sur le mode du fait accompli. Or elle savait que ce ne sont pas là des methodes vu qu'elle officie depuis plusieurs années comme ambasadrice des USA à l'ONU.

Le malheur des sahraouis est de la responsabilité du monde entier..

Il faut aussi souligner que :

" La décision de la diplomatie américaine avait été ouvertement critiquée par le Département US de la Défense, vu la situation sécuritaire critique dans la région, notamment avec la guerre au Mali. «Il n'y a pas eu de coordination avec la Défense alors que nos troupes étaient déjà sur place dans ce pays allié», confie à Lakome une source proche du dossier ".

Et que :

" La diplomatie américaine a donc été critiquée sur deux fronts : par le Département de la Défense et par les partenaires des Etats-Unis, la France et l'Espagne, froissés de ne pas avoir été prévenus en amont par la mission US à l'ONU, dirigée par Susan Rice ".

Et que :

" Certains analystes estiment que le Département d'Etat n'avait pas anticipé la violente réaction marocaine et que la «déroute» de la diplomatie américaine est dûe principalement à l'arrivée d'une nouvelle équipe au Département d'Etat dans le sillage de John Kerry, confirmé à son poste en janvier dernier par le Sénat américain ".

Comme ça les choses sont plus claires et que le Maroc a fait ce qu'il fallait faire.