Menu

Scandale porno d'Agadir : Les confessions de Servaty

Philippe Servaty s’est épanché, en début de semaine, devant les caméras de la RTBF, première chaîne de télévision belge. 12 minutes d’entretien dont deux sont passées sur le JT de la chaîne.

L’ancien journaliste du "Soir", principal accusé dans le scandale de mœurs qui secoue Agadir depuis plusieurs semaines, a affirmé être "sincèrement désolé pour le sort des (treize) filles actuellement en prison".

Extraits : "Je suis un pervers, un malade, je suis actuellement un traitement médical (…). Je n’ai rien contre l’Islam, c’est le plaisir sexuel seulement qui me guidait vers des femmes voilées (…). Je reçois des menaces de mort par courrier ou par téléphone (…). Je me tiens à l’entière disposition de la justice".

Servaty, dont le visage apparaît "flouté" à l’écran, a en outre confirmé qu’il a bel et bien été arrêté par la police d’Agadir, en 2004 : "Les policiers ont pris mon portable et c’est à partir de mon répertoire qu’ils ont identifié et arrêté certaines filles. Ils m’ont ensuite invité à quitter le pays et à ne plus y remettre les pieds". Voilà au moins qui amène cette terrible question : comment se fait-il que les Marocains aient effacé toute trace de ce passage de Servaty entre les mains de la police ?

On signalera par aileurs qu’une instruction judiciaire vient d’être ouverte contre le même Servaty en Belgique et qu’une plainte devrait être déposée, incessamment, par une députée et un avocat belge. Un juge d’instruction marocain vient par ailleurs d’émettre (enfin !) un mandat d’arrêt contre le touriste belge.

Source : TelQuel

Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com